#- Ben …nous

[handlewithcare-delicate]

Hou opppp hij gaat pas over 3 kwartier open en nu al 2 uur wachtrij, mensen die vandaag gaan je bent echt fucked

[clhook]

Apparemment mon reuf a une nouvelle copine qui est vegan, ça va être marrant si on veut aller au restaurant en famille parce que :

moi : végétarienne

ma mère : pesco-végétarienne et intolérante au lactose

elle : vegan

[lolochaponnay]

Une jeune femme, aux formes sublimes, prend un bain de soleil topless dans son jardin. Un piaf se pose sur sa poitrine et, surpris par la chaleur et le velouté des lieux, il se laisse glisser entre les deux seins où il se blottit. Il appelle sa piafette pour lui faire profiter de cet agréable refuge. Un hérisson qui passait par là, demande au piaf : - Mais que faites vous là, tous les deux? - Ben, tu vois bien, nous nichons!

[herrie-de-ekster]

soms geniet ik echt van de Tumblr reclames

[randomnameless]

Encore un autre exemple de "ce que je pense dans le fandom ne reflète pas ce que je pense dans la vraie vie", si dans le fandom en général je préfère les dirigeants qui écoutent leur peuple, dans la vraie vie?

Ben, encore une fois, on a une démonstration que le français est con.

"Vote pour les européennes ok?"

"macron démission"

"Oui mais les européennes?"

"immigration caca. Je donne un coup de pied au derche de tous ces technocrates! Et au fait, Macron démission."

:/

Et c'est marrant de voir tous les députés actuels, nupesiens ou autres, être en pls (sauf pour ceux de la Marine) et a demi-mots critiquer le président parce qu'il organise de nouvelles législatives - ok ils vont perdre leur siège gagné par un lancé de dé particulièrement habile, mais surtout ce qui revient en masse, c'est la peur d'avoir une AN bleu marine

"c'est un pari risqué, les français peuvent être assez cons pour voter pour une assemblée d'extrême droite!"

Certes, on laisse parler le peuple, mais ça me fait penser aux gilets jaunes qui beuglaient pour "abolir le Sénat", gros, c'est justement pour éviter que des abrutis fassent n'importe quoi et élisent de la merde qu'il existe un système bicaméral, au cas où la représentation démocratique "directe" se foire.

D'un côté, ça me fait quand même penser que pour toute aussi décriée qu'elle soit, la 5ème et je pense, les démocraties/constitutions occidentales post 45 ont quand même pensé à ne pas laisser trop de place à la démocratie "directe". C'est sûr qu'on ne laisse pas le français décider et s'exprimer sur tout, mais bon, quand on regarde ce qu'il fait de son expression démocratique, est-ce que c'est fondamentalement une mauvaise chose?

Je mise un kebab sur un taux d'abstention élevée pour le premier tour des législatives, à la fois parce qu'il y aura un match de l'euro de foot, et parce que, ben, c'est le dimanche.

Pareil pour le second tour, sauf qu'il n'y aura peut être plus de foot - mais avec un taux d'abstention bas, on va quand même avoir des abrutis défiler en manif-razzia pour beugler qu'on ne les écoute jamais ou qu'on ne leur donne jamais la parole.

Pour tout aussi, euh, controversée qu'ait été l'émission les Guignols de l'Info, ce qui me manque le plus chez eux, c'était cette franchise à faire passer le français "moyen" pour un con.

[zoueriemandzijnopmars]

Ik voel me alsof ik dit had kunnen zien aankomen en toch ben ik geschokt

[vriendenboekjes]

man wat een gezeik. ik steel zodat ik mn geld aan andere dingen dan levensbehoeften uit kan geven.

[infosisraelnews]

Enrico Macias et Zahava Ben - « Ensemble, nous gagnerons »

Le légendaire chansonnier français et favori du public Enrico Macias, dont les concerts ont été reportés en raison de la santé du chanteur, viendra en Israël en septembre dans le cadre de la tournée « Ensemble, nous gagnerons ». Les téléspectateurs peuvent s’attendre à une programmation composée des meilleurs tubes jamais écrits et interprétés par le roi de la chanson française.  Un invité…

[thanatos-zagreus-shagreus]

Pfffff

Ik wilde idd een beetje bijslapen vandaag, daarom ging ik rond elf uur lekker in bed liggen, maar ik moet bekennen dat in een keer tot half negen 's avonds doorslapen ook niet helemaal de bedoeling was, oeps

Ben benieuwd wanneer ik weer ga kunnen slapen vannacht, but we'll see.

[itoshikinozomu]

Ça c'est le boute plate de la rue: quand tu sors pour une smoke pis y te broadcast les od...comme c'tu ben nécessaire? Comme ok on l'a vu ton truck jaune pas besoin de starter les flashers sur la ptite rue seulement...

[handlewithcare-delicate]

De Grote Incomplete Efteling Lantaarnpalen Poll (GIELP)

Zie hieronder voor om welke lantaarnpalen het gaat! Zover ik het weet heeft alleen de Wonderwachter (op de Pardoes Promenade) een officiële naam. De rest heb ik de naam van de locatie gegeven, zover ik die kon achterhalen.

Standaard Lantaarpaal (staat door het hele park)

Anderrijk

Aquanura

Dubbele laan

Reizenrijkplein

Route bosrijk

Ruigrijk

Sirocco

Sprookjesbos

Ingang Droomvlucht

Wonderwachter

De Zes Zwanen

[lolochaponnay]

Une ville française et une ville américaine de 50000 habitants chacune se sont jumelées. Au bout d’un an, les Américains invitent les Français pour célébrer le premier anniversaire du jumelage. Au cours d’un banquet, le maire Ricain dit au maire Français : - J’ai eu une idée formidable. J’ai demandé à un ami architecte de faire des plans pour un centre de loisirs afin d’accueillir les jeunes et les personnes âgées en difficulté. L’idée serait de bâtir le même centre dans nos deux villes. Le projet a séduit mon ami, qui m’a fait les plans bénévolement. On pourrait baptiser ces deux centres du même nom, par exemple : « centre de solidarité franco-américaine », ou autre, bien sûr ! Qu’en dites vous ? - Cela me semble être une bonne idée. Vous me donnez une copie de ces plans, et on s’appelle dans quelques mois. Six mois plus tard, le maire américain appelle le maire français : - Hello, cher ami ! Dans quinze jours, notre centre sera achevé. Nous voulons vous inviter pour son inauguration. Et vous, où en êtes-vous ? - Ben …nous, dans quinze jours nous devrions recevoir les formulaires et les dossiers à remplir afin d’obtenir le permis de construire dans les six mois. Mais pour l’instant, nous n’avons toujours pas de nouvelles des subventions !

[whileiamdying]

‘The World After Us’ Review: Charming but Aimless Lessons in Parisian Life, Love and Literary Ambition

A young writer finds love, grief and finally, inspiration in a tender directorial debut that feels like a dry-run for bigger things to come. By Jessica Kiang

“Did you think you were making a French independent film?” rails literary agent Vincent (Mikaël Chirinian) in French independent film “The World After Us.” He’s angry with his callow young client, Labidi (Aurélien Gabrielli), because Labidi has abruptly changed tack on a novel that’s already been optioned, and has also changed its title to, inevitably, “The World After Us.” Louda Ben Salah-Cazanas’ directorial debut is sensitively made, well observed and beautifully performed, but as this rather desultory stab at reflexivity suggests, it doesn’t have many surprises in store.

Where it really works is as a character portrait of the young aspiring author, to great measure aided by Gabrielli’s soulful, faintly Charles Aznavour vibe and tamped-down, off-kilter charm. Labidi, whose doting and delightful working-class Muslim parents (Saadia Bentaïeb and Jacques Nolot) run a small café in Lyon, lives in Paris. Actually, he basically squats there, sleeping on a thin mattress on the floor of the tiny shoebox apartment of his big, sweet friend Aleksei (Léon Cunha Da Costa). He has published exactly one short story and is working on an important-sounding opus set during the Algerian War, presumably inspired by his own North African background.

Of course writing is mostly not-writing, and there Labidi excels, especially after he cutely meets Elisa (Louise Chevillotte, so great in “Synonyms” and soon to be seen in Paul Verhoeven’s “Benedetta”). Where up to this point he’s been a bit of a sadsack, his endearing pickup routine, which involves choking on a cigarette he doesn’t want and then writing his number on another and popping it in her mouth, reveals an unexpected, attractively offbeat confidence. Apparently he’s always been a hit with the ladies: On a visit back home his father reminisces about all the “knockouts” Labidi used to date, joking, “I don’t know how you managed, with that face of yours.”

Labidi and Elisa fall, quickly and believably, in love. And that’s where the trouble starts, inasmuch as Salah-Cazanas’ gentle screenplay, embellished with some literary narration contributed by noted Moroccan novelist Abdellah Taïa, deals in trouble at all. Perhaps the main issue with “The World After Us” is that it sketches characters we care for but never really worry about, and a certain amount of worry is useful in creating drama. Labidi gets into debt trying to have a coupled-up lifestyle with Elisa, complete with finding them an apartment that neither can afford. He starts to embark on get-rich-quick schemes, working as a Deliveroo driver, pilfering money from his glasses-store job and even indulging in some light insurance scamming, all of which leaves him little time or inclination to work on his book. Suddenly Labidi is a lover, not a writer.

When tragedy does strike, it’s the kind that most of us can be expected to suffer at some point, and it cues Labidi to get his relationships with Elisa, his bank balance and his muse into some sort of grown-up order. It’s a rite-of-passage story that might be cranked down just one key too low, but it does give Salah-Cazanas a neutral backdrop against which to develop an assured and promising directorial style. A low-lit, lightly scuffed palette lends Amine Berrada’s photography, which flexes easily between nervy juddering and dreamy smoothness, a warm yet realist feel. The soundtrack too is striking: Jean-Charles Bastion’s cello-heavy score ranges from harmony to fragility and contains all kinds of depths and colors, but it’s frequently nudged aside to make room for fun pop tracks and jazz cuts. One montage is set to Blue Boy’s ’90s club hit “Remember Me”; another is given a freewheeling energy by skittering jazz percussion.

The French independent film tradition to which Vincent refers is long and storied, and “The World After Us” is a solid entry into that canon, with an authentic contemporary feel and a calm perspective that subtly normalizes Labidi’s Muslim-Tunisian heritage, and his uncertain feelings about it, without making it the central subject. But the cinema of attractive young French people negotiating early-life crises wreathed in Gitanes smoke is also so familiar by now that mildly humorous insights into generational issues like the gig economy, lifestyle brands or the ludicrous cost of Parisian life are not enough to imbue any urgency. Such engaging, well-drawn characters are a pleasure to spend time with, and Salah-Cazanas has a bright future behind the camera, but so much of “The World After Us” feels like expertly crafted background for a drama that’s always about to start in the next scene, until there are no next scenes left.

‘The World After Us’ Review: Charming but Aimless Lessons in Parisian Life, Love and Literary Ambition

Reviewed at Berlin Film Festival (online), Berlin, March 3, 2021. Running time: 85 MIN. (Original title: "Le Monde Après Nous")

Production: (France) A Les Idiots and 21 Juin Cinema production. (World sales: Be for Films, Brussels.) Producers: Olivier Capelli, Laurent Rochette.

Crew: Director, screenplay: Louda Ben Salah-Cazanas. Camera: Amine Berrada. Editor: Vincent Tricon. Music: Jean-Charles Bastion.

With: Aurélien Gabrielli, Louise Chevillotte, Saadia Bentaïeb, Jacques Nolot, Léon Cunha Da Costa, Mikaël Chirinian, Hyacinthe Blanc, Noémie Schmidt, Isabelle Prim, Grégoire Lagrange. (French dialogue)

[ninaemsaopaulo]

O mundo atrás de nós

Labidi vive em Paris e quer ser escritor. Mas Paris não é uma festa e ele não vive um sonho: falido, divide um quarto de empregada com seu único amigo, não consegue fechar as contas, recebe dinheiro dos pais (que já são humildes) e, diariamente, concorre com a discrepância do estilo de vida de seus colegas de faculdade.

Labidi conhece Elisa numa cafeteria. Sete anos mais nova, estudante, mora com o pai. No início, parece esperta demais para se envolver com um rapaz ingênuo como ele, parece intimidá-lo. Mas é Elisa o lado mais frágil dessa relação que se constrói com mais expectativas que honestidade. Labidi quer uma vida melhor para si e para Elisa, e está nitidamente mais apaixonado por ela, do que ela por ele. Labidi aluga um apartamento maior e melhor, sem ter noção de como vai pagar e sem consultar a amada sobre a localização e a escolha da mobília. Tem um agente literário e até conseguiu contrato com a promessa de entregar um rascunho original em seis meses, mas o livro não segue adiante. Labidi faz entregas por aplicativos de refeição, aprende no YouTube os cuidados que deve tomar ao forjar acidente em busca do dinheiro do seguro e vai trabalhar numa ótica, onde furta dinheiro do caixa. Sonha mais do que pode realizar, de modo que enfia os pés pelas mãos.

Elisa, cansada e pressentindo o perigo dessa convivência, vai embora. E Labidi, após sofrer uma grande perda, senta e escreve sua estreia literária -, intimista e relatora de seu próprio tempo. Mostrando que, talvez, uma ruptura seja necessária e inspiradora. 

O mundo atrás de nós é um filme de Louda Ben Salah-Cazanas (seu primeiro longa-metragem) e faz parte do My French Film Festival: um festival de cinema francês, online e gratuito, disponível até o dia 13 de fevereiro de 2023. Você pode assisti-lo aqui.

[requincouche]

Hooly sjit wat een droomvrouw ben jij 😍😍

nou nou ^^ , dat valt wel mee, toch? Ik heb tot nu toe geen succes gehad in datingland. Dat voelt soms wel een beetje depri, maar het heeft ook wel positieve kanten dat ik single ben ! Ik hoef me namelijk geen zorgen te maken over een partner, als ik weer eens ergens naar toe ga voor werk of voor plezier... Ik vermoed dat een partner het ook eigenlijk niet goed zou keuren, dat ik foto's van mezelf maak voor een tumblr blog? Wa denk jij? Het zijn soms namelijk wel héél persoonlijke foto's, waar ik ook wel heel kwetsbaar op uit zie